ce qui se passe ailleurs dans le monde…
« L’idéal, c’est le tweet. Cent quarante caractères pour dire n’importe quoi.
Et souvent, vraiment n’importe quoi. »
- Jean-Jacques Pelletier
in La prison de l’urgence
Du fast food au speed dating
Je te connais. Toi qui aimes les images de bombardiers furtifs autant que moi et les soldats d’un régime anachronique stalinien qui déraille sur un vrai temps depuis qu’on lui a appliqué de plus sévères sanctions à l’ONU, tu t’attendrais à ce que j’en parle. Sous peine d’être complètement hors sujet d’actualité.
Ben non. On ne parle pas assez des sanctions et de la guerre de Corée ainsi que de l’implication du Canada dans cette guerre qui s’est terminée par un armistice synonyme d’un match nul, alors j’en parle pas. Pas tout de suite. Je vais laisser travailler le monde qui sont payés pour ça.
Le téléphone arabe, ça fonctionne en arabe. Pas dans une autre langue.
Le téléphone érable, ça fonctionne dans un endroit au sein duquel il faut 40 litres d’eau d’érable pour faire un litre de sirop d’érable.
Dans le genre que si tu n’y mets pas beaucoup d’huile de coude, dans ton entreprise personnelle, tu ne goûteras pas vraiment au miel de la vie…
Tsé, moé, j’me dis que si le salaire minimum existe pour plaire à l’entreprise normale qui tire le diable par la queue, le salaire maximal, pour le patron qui tire un profit obscène du licenciement de ses propres employés, ça devrait avoir du sens.
Mais je dis ça, je dis rien. C’est pareil. On n’arrête pas le progrès. On arrête juste les étudiants rebelles et les pandas pacifiques. Ça fait des plus belles images aux nouvelles. Et c’est tellement moins de trouble pour le service juridique…
Je me comprends.
Les Suisses votent une limite de salaire
pour les patrons
ce qui se déroule au Canada…
« Il ne faut jamais avoir peur ni honte de chérir ses rêves.
On ne peut pas tous les réaliser, on ne peut pas réussir à tous les coups;
mais sans vision un peuple est voué à disparaître.
Les peuples privés de rêves, d’espoirs et d’aspirations sont condamnés
à mener des vies ternes et dépourvues de sens. »
Ce second segment, cette semaine, rend hommage à la populaire expression : « Aye, y sent passes-tu des affaires, dans l’monde, hein ? »
Et encore, je n’ai mis que ce qui semblait avoir un sens et une certaine filiation afin d’y découvrir ce qui ne fonctionne pas correctement, dans ce pays de fous…
Une mutinerie du côté des conservateurs? (9:03)
Libéraux du Québec et/ou du Canada
Warren: Justin Trudeau will have a hard time growing Liberal support in next election
Thomas Mulcair : bulletin de l’an 1
Nouveau guide de citoyenneté
- Plus de monarchie, moins d’histoire
Joe Clark au Devoir – Le Canada «perd de l’influence»
Le pétrole albertain s’approche de l’Est
ce qui se dit d’intelligent sur les médias…
« On crève par manque de passion, aujourd’hui.«
- Jean-Noël Kapferer
Ici, je vais tricher un peu sur mes habitudes.
Je ne vais pas faire référence aux Chihuahas de la démocratie ni aux nombreuses chroniques pertinentes de Stéphane Baillargeon du Devoir.
Non, je vais me faire plaisir et vous confier un petit aperçu de mon maître à penser (ou presque) en matière de communication.
Ré-inventer les Marques (8:59)
Puis, vous encourager chaleureusement à lire ces deux ouvrages pour comprendre comment ne pas se faire mener en bateau par les médias sociaux, le buzz continuel ou les fabricants de rumeurs professionnels.
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Pour ce qui est ce vieux bouquin, que j’affectionne encore davantage, il est un véritable antidote à la fermeture d’esprit et à l’aveuglement volontaire.
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La semaine prochaine. Mon second coup de coeur en communication: Paul Watzlawick, auteur de La réalité de la réalité et Comment réussir à échouer. Des ouvrages à mettre entre les mains de tous ceux qui veulent résister à la perception pré-fabriquée, aux conférences de presse truquées et autres plans de communication con comme la lune.
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